Burnout et stress du dirigeant : comment les éviter
La stratégie en 4 étapes de ce dirigeant pour passer de l’épuisement à la croissance sereine, et de 20 collaborateurs à 50, avec 500 clients dans 40 pays
As-tu déjà vécu un burnout ?
Je ne te le souhaite pas.
Mais même sans parler du burnout, en tant que dirigeant ou même manager avec des responsabilités…
Le stress est souvent de la partie.
J’ai trop de problèmes.
J’ai trop de travail. Je finis tard. Je bosse beaucoup.
Les équipes ne sont pas assez engagées.
Les managers intermédiaires ne sont pas assez forts, du coup tout remonte chez moi.
Ce sont des phrases que j’entends chaque semaine.
Et le pire, c’est que tout ça, quand ça t’arrive, tu ne peux pas trop le dire. 🤫
Alors comment gérer ça ?
Comment limiter le stress du dirigeant / de la dirigeante et éviter le burnout ?
Je connais justement un dirigeant qui a vécu ça, et qui en est revenu avec brio.
Mais il a aussi réussi à faciliter le quotidien de ses collaborateurs, pour in fine mieux satisfaire ses clients.
Et dans cet email, je vais te partager les éléments qui ont fait la différence pour lui.
Il t’en montrera quelques exemples sur le terrain.
C’est parti !
Au programme
Dans cette newsletter, découvre comment ce dirigeant a transformé une des premières agences digitales de France, pour relancer sa croissance, tout en limitant grandement son stress au quotidien.
📈 De la croissance à l’épuisement, à la croissance : les 4 étapes d’un scale up en sérénité
😬 Pourquoi “résoudre des problèmes” ne suffit pas
🙈 Comment le digital cache tes problèmes et comment tu peux les révéler plus facilement
🤝 La dynamique à inverser pour que chaque collaborateur soit ravi, et que tes clients t’en remercient
Pas le temps de tout lire ? Tu trouveras un résumé avec les points clés à la fin.
💡 Juste avant de commencer
Si tu es abonné…
Donne-moi ton retour sur cette newsletter et aide-moi à orienter les prochains sujets.
Avis ? Suggestion ? Question ?
En haut de cette newsletter :
Clique sur le cœur si tu as appris quelque chose ou qu’elle t’a aidé.
Laisse un commentaire.
Ou si tu me lis par email, réponds simplement.
Et si ce n’est pas déjà fait…
Tu peux t’abonner pour ne manquer aucune newsletter.
Chaque semaine, j’écris pour les entrepreneurs et team leaders en quête d’une croissance durable et saine, pour eux et tous leurs collaborateurs.
En t’abonnant, tu recevras directement par email :
Les 3 premiers chapitres du livre Learning to Scale, qui t’expliqueront les bases de la philosophie Lean
Le guide pratique des concepts Lean, pour t’accompagner au quotidien dans ta croissance sur le terrain
C’est 100% gratuit.
Dans cette newsletter, je vais faire une analyse de JVWEB sous un angle précis.
Mais tu peux en apprendre plus en consultant ma visite de la boîte.
Ou encore ce documentaire, qui inclut un chapitre entier sur JVWEB.
De la croissance à l’épuisement
Jonathan Vidora fait de JVWEB l’une des 5 plus grosses agences digitales françaises.
Spécialisés sur l’acquisition (Google, Meta, Amazon, etc), ils aident leurs clients dans plus de 40 pays, avec des bureaux à Montpellier, Paris, en Suisse, au Royaume Uni et en Chine.
Mais même si ça paraît génial sur papier, ça n’a pas toujours été facile.
Jonathan a monté la boîte en 1998 alors qu’il était en première au lycée.**
Mais après avoir atteint une 20aines de collaborateurs il y a une dizaine d’années, ça devenait trop.
Les clients étaient insatisfaits.
Les collaborateurs aussi.
Les problèmes et les retards s’accumulaient.
De son point de vue, il s’appuyait sur ce qu’il avait vu à l’école, son expérience et son intuition.
Si quelque chose ne fonctionnait pas, il demandait autour de lui, il mettait en place quelque chose, et regardait si ça marchait.
Le souci c’est que les mêmes problèmes revenaient tout le temps.
Il les voyait trop tard, quand c’était devenu des grosses crises à gérer.
Et il passait d’une crise à une autre, et tout retombait.
Jonathan s’épuisait, il a dû lever le pied.
De l’épuisement à la croissance
C’est à ce moment-là qu’il a fait une découverte, et a entamé une quête qui l’a amené au Japon.
Depuis tout a changé.
Avant il devait toujours faire un compromis difficile : croissance = stress.
Aujourd’hui, il voit son entreprise comme un organisme en équilibre.
Il ne s’adresse plus à de gros problèmes.
Il a des systèmes, des sondes, et il voit tout de suite quand ça dérape.
Tout le monde est bien plus zen, ses clients, ses collaborateurs, et surtout lui.
Et JVWEB continue une belle croissance.
Il y avait sûrement pleins de méthodes pour ça, mais il a trouvé une façon d’aborder différemment la gestion de la boîte : le Lean.
Avec Régis Médina (mon associé), nous avons aidé Jonathan et JVWEB à pratiquer depuis plus de 6 ans.
Et voici les étapes clés qu’il a utilisées pour atteindre cette croissance sereine…
Étape 1 : Apprendre à résoudre des problèmes
Jonathan n’a pas attendu 10 ans pour résoudre des problèmes.
Mais ce qu’il a réalisé, c’est que quand on traite mal les problèmes, ils ont tendance à revenir sous une forme ou une autre.
Pour vraiment résoudre les problèmes, il a compris 2 choses :
Il ne faut pas atteindre que le client ou le collaborateur se plaigne pour commencer à se pencher sur un problème. C’est souvent trop tard, et le problème est trop gros.
Sans apprentissage, un problème n’est jamais vraiment “résolu”, il n’est que temporairement camouflé.
Comme je te l’expliquais dans cette newsletter sur les 5 principes clés du Lean :
Le 1er principe c’est qu’il y a des idées fausses dans ta tête ou celles de tes collaborateurs qui vous empêche de croître sereinement.
Le 2ème principe : c’est sur le terrain que tu les trouves.
Comment ?
Avec le PDCA.
Un bref rappel…
Le PDCA, c’est une démarche scientifique appliquée à la résolution des problèmes quotidiens de l’entreprise.
Le cycle PDCA se décompose en 4 phases : Plan - Do - Check - Act (d’où son nom).
Je ne vais pas rentrer dans le détail ici, mais pour faire simple, le PDCA te permet de :
Identifier les problèmes sur le terrain, isoler les vraies causes profondes possibles, et définir de petites contre-mesures simples, rapides et ciblées à tester pour les résoudre (P de Plan)
Effectivement faire ces tests (D de Do)
Vérifier systématiquement l’effet des actions mises en œuvre (C de Check)
Tirer des enseignements de chaque expérimentation, et les diffuser au reste de l’équipe (A de Act)
(Réitérer une boucle si cette contre-mesure n’est pas suffisante)
Si tu souhaites en savoir plus sur le PDCA, ses étapes et comment l’utiliser, je t'en parle en détail dans cette newsletter.
Étape 2 : Sortir la tête des écrans
Si le terrain et le PDCA sont la première étape vers la résolution des problèmes.
La 2ème est de rendre ces problèmes visibles.
Une entreprise, c’est un ensemble de flux.
Et le meilleur de moyen de voir si tout se passe bien, c’est de s’assurer que ces flux se déroulent sans blocage.
On peut ainsi isoler les petits problèmes types qui reviennent souvent, et les traiter rapidement.
C’est là qu’entre en jeu le management visuel.
Et Jonathan et ses équipes l’ont mis en œuvre dans toute la boîte.
Quand je suis allé visiter l’entreprise dernièrement, on est allé voir Nadia à la finance, qui nous a expliqué ce qu’ils ont mis en place pour la compta.
Au début ce n’était pas facile, surtout parce que ce n’est pas une pratique commune dans le milieu.
Mais Jonathan les a supportés.
Et les bénéfices ont été assez rapides :
Décharge mentale
Gains de temps
Visibilité sur les retards ou les problèmes
Et tout ça sans être anxiogène, au contraire.
On est aussi allé voir Lucas à la production, qui m’a expliqué leur système de plan de production sur Trello.
C’est une pièce maîtresse dans un environnement digital, car sinon il peut vite être difficile de voir où ça bloque et qui a besoin d’aide.
On croit souvent que le digital permet de visualiser, mais en réalité il a plus tendance à cacher les choses.
Le Trello permet donc de visualiser les tâches de chacun pour le jour même et les prochains jours.
De manière générale, le management visuel est un outil redoutable pour révéler les problèmes et les sujets d’apprentissage.
D’après Jonathan, chacun s’améliore beaucoup plus rapidement, et peut gérer plus de flux.
Tu veux voir d’autres exemples de management visuel ?
Voici un exemple d’une session de management visuel hebdomadaire chez JVWEB.
Tu peux aussi voir le mur client juste ici.
Et si tu veux en savoir plus sur le management visuel et les kanbans, clique ici pour retrouver mes newsletters sur le sujet.
Étape 3 : Créer une chaîne d’aide
Le management visuel permet à chacun de prendre conscience de son travail, et de révéler les problèmes.
Mais le management visuel permet aussi et surtout de révéler les opportunités d’apprentissages, et opère comme une sonde qui permet aux team leaders d’identifier les besoins en temps réel.
C’est ce que Jonathan a compris au retour de son premier voyage au Japon.
Les teams leaders peuvent intervenir pour aider à prioriser les actions, soutenir, ou former un collaborateur en temps réel.
Les team leaders agissent alors comme des digues, et cassent les vagues avant qu’elles remontent à Jonathan.
Selon Jonathan, la clé, c’est d’entraîner tout le monde, tout le temps.
Tout ça a nécessité un changement majeur d’état d’esprit pour Jonathan et le CODIR : “on est là pour faciliter leur quotidien, pas les contrôler”.
C’est un des fondements du Lean : remplacer le Commandement te le Contrôle, par l’Orientation et le Soutien.
Si tu veux en savoir plus, tu peux lire la newsletter complète sur le team leader ici.
Et tu peux aussi retrouver un exemple concret de la transformation de JVWEB avec la structure des team leaders.
(Et de manière générale, je t’invite vivement à regarder le documentaire complet. Il présente 3 boîtes qui pratiquent le Lean - JVWEB, Aramid Auto, Theodo - et qui ont absorbé leur croissance à merveille, à différents stades d’avancement.)
Et au-delà du soutien, le management et les team leaders créent aussi les conditions du succès et assurent le confort des collaborateurs.
Un bon exemple de ça, c’est une des dernières innovations de Lucas à la production, qui a permis grâce à l’IA de réduire le délai pour nettoyer les annonces Google d’un nouveau client, de 3 mois à 7-10 jours.
Comme j’en parlais avec Jonathan, pour Toyota, l’objectif du TPS c’est de créer du confort et de la sécurité.
Ça a un impact sur les gens, leur envie, puis la qualité, et la satisfaction du client.
En soi, l’idéal du Lean c’est d’aligner le sourire du collaborateur sur le sourire du client.
Et d’après Jonathan, le triptyque gagnant pas cher/rapide/qualitatif c’est possible avec le Lean, à condition de pratiquer.
💡 Note : Ce qu’est le Lean
Le Lean a été inventé par Toyota il y a plus de 70 ans (même si eux n’appellent pas ça comme ça, car ce nom vient des Américains).
C’est cette méthode qui leur a permis de prendre leur envol, pour ensuite devenir leader depuis les années 2000 - et le rester.
Depuis, l’approche a été reprise par des milliers d’entreprises de toutes tailles, dont plusieurs entreprises au grand succès.
Quant à moi, j’ai découvert le Lean il y a près de 15 ans, et ça a révolutionné mon approche en tant que manager et chef d’entreprise.
La méthode m’a permis de gérer la croissance de mon entreprise et de la revendre quelques années plus tard à un acteur clef du marché.
J’ai aussi eu l’occasion de passer dans les usines de Toyota, voyant bien l’efficacité du Lean Management sur le terrain, de mes propres yeux :
Depuis 2016, je cogère Keenly et Learning to Scale, dans lesquels nous avons accompagné plus de 800 patrons et managers de scale-up et entreprises établies dans leur quête de croissance continue, en les familiarisant notamment au Lean (Qonto, Theodo, Aramis Auto, JVWEB, RSM Sofira, Leocare, etc.).
Tu veux en savoir plus sur le Lean, l’histoire de Toyota, ou la mienne ? Clique ici pour accéder à mes newsletters.
Étape 4 : Engager tout le monde dans l’amélioration
Une fois la chaîne d’aide mise en place avec les team leaders, le défi pour Jonathan a été de s’assurer que ces pratiques ne s’essoufflaient pas.
Avec toute méthode (comme le Lean), au début, c’est super.
Les premiers résultats arrivent, tout le monde est enthousiaste, et puis progressivement ça redescend.
Pas facile de garder ses bonnes habitudes, aider chaque personne à comprendre leur valeur, et vraiment les intégrer pour tous, longtemps.
Alors pour pallier à ça, Jonathan a quelques secrets.
D’abord, chez JVWEB, la culture est écrite sur les murs.
“Faciliter le marketing en ligne.”
“Satisfaire 100% de nos clients.”
“Produire sans défaut.”
…
De belles phrases.
J’ai dû lui demander : c’est de la communication où c’est réel.
Sa réponse est simple… oui, ça sonne bateau.
Aujourd’hui, toutes les entreprises parlent par exemple de satisfaire leur client par exemple, mais pas beaucoup le font vraiment, surtout en ligne.
Pourtant, ils suivent chacun de ces grands objectifs concrètement avec des KPIs.
Et une autre manière qu’ils ont trouvée d’incarner cette culture et engager tout le monde dans l’amélioration : c’est de les promotionner.
Chacun peut proposer des améliorations à tout moment.
Et d’après Jonathan, il n’y a pas de petites améliorations.
Mais c’est d’abord basé sur le volontariat.
Dès que quelque chose ne plaît pas à un collaborateur dans son travail, il en parle à son team leader pour chercher comment améliorer cet aspect.
Des améliorations en naissent, et remontent à la direction pour être communiquées.
Une fois par mois, Jonathan sélectionne une ou 2 améliorations clé, et les affiche dans les bureaux.
Ça crée un vrai sentiment de fierté dans les équipes.
Chacun trouve un nouveau sens, plus grand, dans l’amélioration, ce qui renforce cette boucle vertueuse.
Pour Jonathan, c’est aussi un moyen de mettre en avant le travail, et rendre aux gens.
Pour couronner le tout, ils organisent depuis 5 ans les JVWEB Awards.
Chaque année, les meilleures améliorations sont sélectionnées, puis chaque auteur va présenter l’histoire de son amélioration, et sera soumis au vote de chacun.
Le gagnant sera alors récompensé et affiché dans la salle commune.
Et finalement, pour que cette amélioration aille jusqu’à la direction, les membres du CODIR vont ensemble sur le terrain une fois par mois pour déceler de prochains sujets d’amélioration et d’apprentissage.
Et ils tiennent une Obeya pour toujours garder un œil sur la réalité du quotidien.
Ça sera peut-être le sujet d’une prochaine newsletter…
Et toi ?
Comment tu gères ça ?
Qu’est-ce que tu as essayé ?
Ces sujets t’intéressent pour ta propre boîte ?
On peut en parler ensemble 30min.
Clique ici pour bloquer un moment avec moi et faire connaissance.
💡 Ne rate pas la prochaine newsletter
Chaque semaine, j’écris pour les entrepreneurs et team leaders en quête d’une croissance durable et saine, pour eux et tous leurs collaborateurs.
En t’abonnant, tu recevras directement par email :
Les 3 premiers chapitres du livre Learning to Scale, qui t’expliqueront les bases de la philosophie Lean
Le guide pratique des concepts Lean, pour t’accompagner au quotidien dans ta croissance sur le terrain
C’est 100% gratuit.
Et juste avant de te laisser…
Voici les concepts clés que tu dois retenir de cette newsletter :
Crée une culture d'apprentissage et d’amélioration continue : Encourage ton équipe à voir chaque problème comme une opportunité d'apprentissage.
Utilise le terrain comme une salle de classe : Ne te borne pas à gérer depuis ton bureau. Descends sur le terrain pour observer, interagir et comprendre les défis de tes équipes et clients. Et organise des séances régulières avec le CODIR sur le terrain pour déceler de nouvelles opportunités d'amélioration.
Anticipe les crises avant qu'elles n'éclatent : Ne te contente pas d'attendre que les problèmes deviennent des crises avant d'agir. Utilise des méthodes proactives comme le PDCA pour détecter et résoudre les problèmes en amont, réduisant ainsi le stress et les urgences, et faisant monter le niveau de jeu de l’entreprise.
Rends les problèmes visibles pour mieux les gérer : Adopte le management visuel pour rendre les flux de travail transparents et repérer immédiatement les blocages ou les retards. Ne le fais pas pour contrôler…
Développe une chaîne d'aide efficace avec les team leaders : Mets en place une structure où les team leaders agissent comme des points de soutien pour leurs équipes, empêchant les problèmes de remonter systématiquement jusqu'à toi. Cela allège ta charge et permet une résolution plus rapide et plus locale des problèmes, tout en cultivant l'autonomie des équipes.
Valorise et célèbre les améliorations proposées par les collaborateurs. Cela renforce le sentiment d'appartenance et le sens de l'équipe, créant un environnement où chacun se sent valorisé et partie prenante du succès commun.
Sur ce, à ta croissance et ton épanouissement.
Christophe Ordano
PS : Tu veux apprendre le Lean en continu ?
💡 Qui suis-je ?
J’ai découvert le modèle Lean de Toyota il y a près de 15 ans, et ça a révolutionné mon approche en tant que manager et chef d’entreprise.
Il m’a permis de gérer la croissance de mon entreprise et de la revendre quelques années plus tard à un acteur clef du marché.
Aujourd’hui, je fais ma mission de familiariser les patrons et managers de demain à cette pratique, et partager la méthode de Toyota au plus grand nombre.
Je les emmène avec moi sur le terrain, dans ma quête d’amélioration et de croissance.
Depuis 2016, je cogère Keenly et Learning to Scale, dans lesquels nous avons accompagné plus de 800 patrons et managers de demain dans leur quête d’amélioration et de croissance, en les familiarisant au Lean ****(Qonto, Theodo, Aramis Auto, JVWEB, RSM Sofira, Leocare, etc.)
Chaque jour, je me bats contre le management bureaucratique et financier, qui cause trop de dégâts sur la santé des personnes (burn-out), le gaspillage des talents (bore-out), les relations entre les gens, la perte de sens du travail (brown-out), la qualité des produits, la satisfaction des clients, l’impact environnemental, et la pérennité des boîtes.
Et dans les prochaines éditions hebdomadaires de la newsletter : je te partagerai des réflexions, des retours d’expérience, et des outils, pour comprendre le modèle Lean et te faire évoluer dans ta carrière de dirigeant ou team leader.